Sous le soleil de Saint Jean de Luz

Les 10 et 11 septembre avaient lieu les triathlons de Saint Jean de Luz avec une victoire en relais pour les jeunes et des places d’honneur pour tous les autres.

Sur le S (334 classés)

1° Carl Dupont (Team Charente Triathlon) 1h02’42

13° Nemo Lestage 1h16’55

21° Yann Taverne 1h18’48

24° Julien Simon 1h19’05

46° Florian Romary 1h23’26

66° Pierre Mars 1h25’27

75° Christophe Fortabat 1h26’20

110° Hugo Storchi 1h28’59

137° David Lacalle 1h30’46

197° Pierre Yves Bigot 1h36’23

235° Aurélie Penne 1h41’23

319° Hélène Gibon 1h57’25

 

Sur le S Relais (18 classés)

Vainqueurs:  Aviron Bayonnais Jeunes 1h14’07 (Tom Morel Journel pour la natation, Tanguy Poties pour le vélo, Raphael Renou pour la course à pied)
 

Sur le M (373 classés)

1° Chatelas Lionel (SU Agen) 2h07’35

4° Stéphane Arrayago 2h08’41

9° Benoit Perruche 2h16’47

32° Patrice Cotty 2h24’47

68° Mika Buch 2h31’47

70° Nico Sermot 2h33’03

98° Moustic Ancibure 2h34’51

101° Ludo Jouault 2h35’40

178° Pauline Duperray 2h43’13 (15°féminine)

206° Fred Maget 2h46’54

371° Samuel Kasparian 3h35’12

 
Sur le L (373 classés)
1° Gonzalo Fuentes (Añorga kke) 3h59’15
82° Stéphane Nieto 4h46’59
 
Stéphane, qui a une longue expérience de conteur d’histoire (c’est comme ça qu’il endormait ses enfants le soir), a tenu a faire un résumé de sa course pour donner envie à tous de se lancer un jour sur le L pour ceux qui n’en ont jamais fait, ou de récidiver pour les autres.
Voici son compte rendu: “C’était cool. J’étais avec mes potes de Ironspondyman pour la lutte contre la Spondylarthrite.”

http://www.doctissimo.fr/html/dossiers/rhumatismes/sa_6883_spondylarthropathies_def.htm

 

Bravo à tous pour vos efforts et vos résultats, en particulier à ceux et celles qui faisaient à Saint Jean leur premier triathlon en individuel.
Bien évidemment félicitations au trio qui remporte la course en relais, avec près d’une minute d’avance sur les seconds…

Mais comme il n’est pas constructif de ne donner que des bons points, exceptionnellement on va distribuer quelques cartons noirs:

– A Benoit Perruche qui, malgré son sens de l’organisation, arrive sur le départ d’une course sans sa combinaison, son bonnet et ses lunettes de natation. Heureusement pour lui que Jessica, toujours prévoyante, portait vraiment par hasard avec elle tout ce matériel (qui plus est, pile poil à sa taille) pour pouvoir lui prêter cinq minutes avant le départ.

– A Nemo qui profite que Julien S fasse des tractions sur les barres placées sur le parcours course à pied pour le doubler, sans un regard, ni aucun mot d’encouragement. Et pour prendre la place de premier du club (pas mal pour quelqu’un qui, il n’y a pas si longtemps, mettait encore ses brassards “Hello Kitty” avant de passer le pédiluve du centre nautique).

– A Julien S qui n’est même pas capable de faire une série de 10 tractions d’affilée. En même temps on peut légitimement se demander ce qui passe dans l’esprit de quelqu’un qui s’arrête pendant un triathlon pour faire des tractions…

– Au GPS de Patrice qui, alors qu’il y a en face de lui deux tunnels (dont un avec un grand panneau “arrivée”) lui indique le mauvais chemin (celui avec le grand panneau  “non c’est pas là, c’est à côté”)

– A Sam qui, après nous avoir habitué à crever sur le vélo et à faire 10km sur la jante, nous sort une course normale, sans aucune anecdote au final

 
– A Popo,  carton noir de dépit parce que je n’ai rien trouvé à lui reprocher et que ça m’énerve. Une hygiène alimentaire irréprochable, jusqu’à refuser un sandwich au chorizo avant la course parce qu’il y a des fibres, transition sans chaussettes, premier triathlon M géré du début à la fin. On peut juste regretter qu’elle n’écoute pas les conseils d’une infirmière diplômée comme Anne Laure qui lui explique que pour éviter les courbatures du lendemain, il est inutile voire ridicule de prendre du Doliprane en prévention mais qu’il est préférable de s’inscrire à la course pour finalement ne pas la faire.

– Aux astronomes babyloniens qui ont décrété que une minute égale soixante secondes. Si une minute valait deux cents secondes, Hélène aurait eu beaucoup plus de temps (et donc moins de stress) pour, vingt minutes avant le départ, pouvoir d’une part réparer sa chaîne cassée et d’autre part réaliser qu’il y avait deux parcs à vélo et donc que les chaussures running qui étaient dans sa main droite n’allaient pas du tout au même endroit que le vélo (désormais fonctionnel) qu’elle tenait de sa main gauche.

– Au petit caillou vicieux placé sur la route et qui attendait patiemment son heure et le passage du vélo d’Aurélie pour lui crever la chambre à air et ce toujours à vingt minutes du départ, entrainant une hausse de tension chez Pierre Yves (ou alors la montée de stress chez PY était juste une réaction compensatoire devant l’absence totale de montée de stress chez Aurélie qui, en souriant, croyait voir un “signe de la fatalité” destiné à l’empêcher de prendre le départ)

Bon sinon encore bravo à tous et bon courage à ceux pour qui la saison n’est pas encore finie.

 
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